
Etudiante dans un établissement apparemment non reconnu par l’Etat, la fille en question est en attente de son troisième enfant. Une grossesse qu’elle cachait à ses parents dont elle craignait la réaction.
Une affaire de faux à la Direction générale des recherches (DGR) a récemment secoué les réseaux sociaux. Une jeune compatriote prétendait avoir été kidnappée par les forces de l’ordre et conduite dans un lieu inconnu au Cap Esterias.
Cependant, une enquête diligentée par la DGR a rapidement révélé qu’il s’agissait d’une fausse alerte. Grâce à leur travail acharné, les officiers de police judiciaire ont retrouvé la jeune fille. Selon ses déclarations, elle a menti pour échapper à une situation difficile sur le plan familial, scolaire et social.
«Depuis quelque temps, je peux dire que je fais un peu une dépression parce que cette année, je devais soutenir. Mais là où j’apprenais, on a appris que l’école n’était pas reconnue et, en même temps, je suis tombée enceinte. Quand j’ai appris que l’école n’a pas été reconnue, ça m’a vraiment frustré et dérangé. Et le fait aussi d’être enceinte, parce que je ne savais pas ce que mon père et ma mère allaient penser de ce troisième enfant que j’attends, j’ai fait une dépression. Je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête pour dire ça, je m’en excuse et je tiens à dire au public que les corps habillés ne sont pas responsables de ça», a-t-elle déclaré.
A tout considérer, cette affaire met en lumière les défis auxquels sont confrontés les jeunes dans notre société. Malgré la fausse alerte, saluons le rôle crucial de la DGR dans la protection de la population et tous les moyens mis en œuvre pour la manifestation de la vérité.