Rudain-Frayse OKANA 
Owendo, commune située à environ 17 kilomètres du centre-ville de la capitale gabonaise Libreville, a enregistré un fait des plus effrayants. Armand Evah MBA, journaliste à la Radio Télévision Nazareth (RTN), a vu son domicile être visité par des malfaiteurs dans la nuit du mardi 21 au mercredi 22 octobre 2025. Dans la zone dite du Port en Haut, le journaliste a été surpris par une intrusion nocturne à son domicile, comme le rapportent nos confrères de ligne Mefiee Gabon, cité par Gabon Média Time (GMT).
Au cours du cambriolage, les voleurs auraient mis la main sur plusieurs équipements ménagers et autres matériaux. Bien qu’il n’y ait eu aucune agression physique signalée, il faut noter que le traumatisme reste vivant. Ce n’est qu’au réveil de la maisonnée que le vol a été constaté :
« Lorsque je me suis réveillé, j’ai constaté qu’il y avait une échelle appuyée contre la barrière. En vérifiant, j’ai remarqué que notre machine à laver seau-automatique avait disparu », a indiqué Armand Evah Mba, entremêlé entre stupeur, désolation et colère.
Le choix de cet pareil suscite des interrogations, car le bien venait d’être acquis : « Nous venions de l’acheter, il y a seulement quelques semaines », a déclaré le journaliste. Dans leur fuite, les cambrioleurs ont laissé derrière eux certains indices. Il s’agit entre autres de l’échelle ayant servi à escalader le mur et un chapeau « sombrero ». Des éléments qui pourraient aider dans les enquêtes, car la priorité reste l’identification de ces indélicats.
Il est à noter que la zone du Port en Haut reste connue pour des faits similaires, car plusieurs cas de vols, voire d’agressions y sont souvent répertoriés. Une mauvaise réputation que les populations souhaitent changer, avec l’aide des autorités compétentes :
« Pas un mois ne passe sans qu’un voisin ne soit victime d’un vol. L’insécurité devient inquiétante », témoigne un riverain du quartier. Si les forces de l’ordre mènent très souvent des opérations dans la zone, marquées par des raids, ces derniers ne sont pas encore venus à bout de ce phénomène d’insécurité qui prend quartier dans le secteur au fil du temps.
