
Le président Ali Bongo Ondimba s’est entretenu jeudi dernier à Libreville avec le directeur politique adjoint au
Commonwealth, Harriet Mathews. Au menu des échanges : plusieurs sujets relatifs à la collaboration bilatérale, et notamment les possibilités d’investissement des sociétés britanniques au Gabon, dans la domaines des infrastructures, de l’énergie et de l’éducation.
Une intéressement loin de déplaire au Gabon. Lequel pays, en devenant membre du Commonwealth, espérait plus d’opportunités à ses portes. « L’adhésion du Gabon au Commonwealth est aussi, et avant tout, une opportunité. Sur le plan économique, notre pays est mieux placé pour attirer des investisseurs internationaux dans des secteurs toujours plus diversifiés (…) Pour nous Gabonais, l’adhésion au Commonwealth signifie à terme plus d’emplois créés, plus de richesses distribuées », expliquait le président Ali Bongo Ondimba au sortir de cette adhésion, en juin 2022.
Le Commonwealth est une organisation intergouvernementale composée de 56 États, 2 milliards de citoyens, et ayant l’anglais en partage. C’est un peu comme l’Organisation Internationale de la Francophonie mais, cette fois, pour les anglophones.