Les intéressés observent un sit-in depuis le 22 janvier 2024 pour attirer l’attention des pouvoirs publics en vue d’entrer dans leurs droits
Après la fermeture de ladite entreprise, le personnel désormais au chômage n’a perçu ni salaire, ni droits, encore moins une quelconque indemnisation.
Pourtant, ces ex-agents regroupés en collectif ont eu recours à tous les circuits nécessaires pour rentrer en possession de leurs droits. Mais l’argent n’aimant pas le bruit, aucun signe jusqu’à présent.
Cinq d’entre eux ont déjà quitté le monde des vivants. Pour ceux encore en vie, certains seraient dans un état de santé inquiétant nécessitant une évacuation sanitaire. Les autres, pour la plupart, ont fini par transformer leurs anciens bureaux en lieux d’habitation, faute de mieux.
L’intervention des autorités de la transition est fortement attendue à l’effet du paiement de la somme due à ces pères et mères de familles qui n’entendent pas quitter ces lieux.