
L’information vient d’être donnée par des voix autorisées au niveau de la justice et du pénitencier de Libreville.
Faux, Sylvia Bongo Ondimba n’a pas été admise dans un hôpital de Libreville. Ainsi réagissent les autorités judiciaires et de la prison centrale, à l’information de certains médias, disant que l’ancienne Première Dame a été internée dans une grosse structure hospitalière de la capitale gabonaise.
Ces divers canaux d’information relaieraient des déclarations d’un journaliste de Radio France Internationale (RFI), qui aurait déclaré que « l’épouse d’Ali Bongo aurait fait une hausse de tension ayant nécessité une hospitalisation ». En fait, le média français a informé l’opinion publique de ce que la femme du chef déchu le 30 août 2023 aurait fait une hausse de tension à la prison centrale de Libreville.
Les autorités précitées parlent d’une « information erronée venant certainement de personnes qui cherchent à semer le trouble dans les esprits des Gabonais ». Sur son compte Twitter, le journaliste en question rapporte que « selon une bonne source, Sylvia Bongo Ondimba aurait fait une hausse de tension. Les médecins sont en train de l’examiner ».
Il y a quelque temps, le journal panafricain Jeune Afrique a ventilé une fausse information selon laquelle l’ancienne First lady et son fils Noureddin Bongo Valentin auraient été exfiltrés du pénitencier de Libreville pour un domicile privé. Une sorte d’assignation à résidence. C’était le premier gros mensonge.