Il était en prison pour avoir tenu des propos diffamateurs à l’endroit de Victorine Tchicot, la directrice du cabinet privé du chef de l’Etat.
Stempy Love, de son vrai nom Jocelyn Nsimoro Obame, a quitté la prison centrale de Libreville, le 17 septembre dernier, apprend-on des sources judiciaires. Ce, à l’issue de la peine de trois mois de prison ferme et neuf avec sursis décidée par le Tribunal correctionnel, dans l’affaire de diffusion de fausses informations l’opposant à Victorine Tchicot, la directrice de cabinet privé du président de la République.
L’ancien animateur de télévision est donc libre, ou du moins partiellement. En effet, le sursis de neuf mois est une sorte d’épée de Damoclès au-dessus de sa tête. Le moindre déficit comportemental ou verbal pourrait le renvoyer derrière les barreaux. Une situation à tous points de vue embarrassante pour lui est habitué à ne pas fermer la bouche.
C’est le 26 juin dernier que Stempy Love Obame a été condamné par le Tribunal correctionnel à un an d’emprisonnement dont trois mois ferme, à une amende de 200 mille FCFA ainsi qu’à verser la somme de 10 millions de FCFA à sa victime. En son article 93, le Code pénal gabonais dispose que « la diffusion ou la reproduction, par quelque moyen que ce soit, de nouvelles fausses, de pièces fabriquées, falsifiées ou mensongèrement attribuées à des tiers, lorsque, faite de mauvaise foi, elle aura troublé l’ordre public ou sera susceptible de le troubler, est punie d’un emprisonnement de 5 ans au plus et d’une amende de 3 millions de FCFA au plus ».
Auteur d’une vidéo diffamatoire diffusée sur les réseaux sociaux, Jocelyn Nsimoro Obame l’avait payé cash. Dans ladite vidéo, il accuse des collaborateurs du président de la Transition de comploter contre lui, ce qu’il n’a jamais prouvé à la barre.
Stempy Love, de son vrai nom Jocelyn Nsimoro Obame, a quitté la prison centrale de Libreville, le 17 septembre dernier, apprend-on des sources judiciaires. Ce, à l’issue de la peine de trois mois de prison ferme et neuf avec sursis décidée par le Tribunal correctionnel, dans l’affaire de diffusion de fausses informations l’opposant à Victorine Tchicot, la directrice de cabinet privé du président de la République.
L’ancien animateur de télévision est donc libre, ou du moins partiellement. En effet, le sursis de neuf mois est une sorte d’épée de Damoclès au-dessus de sa tête. Le moindre déficit comportemental ou verbal pourrait le renvoyer derrière les barreaux. Une situation à tous points de vue embarrassante pour lui est habitué à ne pas fermer la bouche.
C’est le 26 juin dernier que Stempy Love Obame a été condamné par le Tribunal correctionnel à un an d’emprisonnement dont trois mois ferme, à une amende de 200 mille FCFA ainsi qu’à verser la somme de 10 millions de FCFA à sa victime. En son article 93, le Code pénal gabonais dispose que « la diffusion ou la reproduction, par quelque moyen que ce soit, de nouvelles fausses, de pièces fabriquées, falsifiées ou mensongèrement attribuées à des tiers, lorsque, faite de mauvaise foi, elle aura troublé l’ordre public ou sera susceptible de le troubler, est punie d’un emprisonnement de 5 ans au plus et d’une amende de 3 millions de FCFA au plus ».
Auteur d’une vidéo diffamatoire diffusée sur les réseaux sociaux, Jocelyn Nsimoro Obame l’avait payé cash. Dans ladite vidéo, il accuse des collaborateurs du président de la Transition de comploter contre lui, ce qu’il n’a jamais prouvé à la barre.