22 novembre 2024

Des engagements confirmés à l’international

Le Gabon reste un modèle, parmi tant d’autres pays, en matière de promotion de la femme.

C’est avec beaucoup de fierté que la Première Dame, Zita Oligui Nguema, l’a rappelé vendredi dernier, lors de son propos circonstanciel au lancement du Cadre d’action optimale sur la santé de la femme.

Une cérémonie à laquelle elle a participé, à l’invitation de la Première Dame de l’Ouganda, Janet Kataaha Museveni. Et qui lui a ainsi permis de souligner que « le Gabon a également pris, au plan international, des initiatives en faveur des femmes ».

Dans ce sens, elle a évoqué la résolution intitulée  » la Gestion de l’hygiène menstruelle, droits humains et égalité des sexes portée par notre pays et présentée au nom du Groupe africain. Cette résolution a d’ailleurs été adoptée le 12 juillet 2021 par le Conseil des Droits de l’Homme des Nations unies. « Elle vise à faire reconnaître la menstruation comme un processus naturel et à déconstruire les mythes qui empêchent les personnes de sexe féminin de vaquer librement à leurs occupations au cours de cette période », a déclaré Mme Oligui Nguema.

Aussi, a-t-elle fait savoir que cette résolution appelle instamment les gouvernements à respecter leurs obligations en matière de Droits de l’Homme, pour que les femmes et les filles puissent exercer leur droit à la santé, à l’éducation, au travail et à l’autonomie corporelle sans discrimination aucune. D’ores et déjà, en sa qualité de Première Dame du Gabon, elle s’est engagée devant ses consœurs à suivre de près la mise en œuvre de l’initiative PROTEGO, pour assurer aux femmes gabonaises des lendemains meilleurs en matière de santé.

Notons que la cérémonie à laquelle l’épouse du général de brigade Brice Clotaire Oligui Nguema a pris part, s’est faite en collaboration avec l’Institut pour la santé des femmes basé à Washington aux Etats-Unis. Fondé pour défendre la santé optimale et l’épanouissement des femmes à chaque étape de la vie, cette structure est engagée contre le fait que certains pays exercent souvent des pressions sur d’autres Etats, en utilisant une forme de chantage diplomatique qui menace les progrès réels en matière de santé pour les femmes du monde entier.

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