La Rédaction 
La capitale gabonaise à travers les sites du Musé des arts, l’institut Français, et l’institut de l’érudit d’Owendo, a abrité la deuxième édition du festival international du livre gabonais et des arts du 24 au 26 mai dernier.
C’est à travers le thème : « littérature et écologie : écrire la nature à l’aune des bouleversements climatiques », que les amoureux du savoir et de la pensée africaine se sont penchés durant trois jours.
En effet, cette deuxième édition a vu la participation de plusieurs acteurs culturels (écrivains, artiste …), tels que Franck Baponga, le directeur général des spectacles, Rosny Le Sage Suage, écrivains gabonais, la directrice général des arts et industries culturelles, Angèle Assele et bien d’autres.
Les différents intervenants n’ont pas manqué de souligner l’importance du livre dans le développement et l’épanouissement intellectuel de la jeunesse.
Durant les travaux, le Dr Thierry P. Nzamba Nzamba, spécialiste du programme culture du bureau UNESCO à Libreville a exprimé sa satisfaction auprès des écrivains et participants de cette édition, dû à l’implication et au soutient de l’UNESCO dans l’éducation des jeunes et leur épanouissement par la lecture.
« Pour que la littérature porte vos maux, et nos espoirs au plus loin, je déclare la deuxième édition du festival international du livre et des arts ouvert ». Ce rendez-vous a été l’occasion de revisiter les savoirs venus de différents pays du continent.
