Force de police nationale/Rénovation des logements sociaux : plusieurs agents surpris par la nouvelle

Depuis quelques semaines, une situation préoccupante se dessine pour les agents des forces de police nationale. Selon des sources fiables, ces derniers seraient en train de s’apprêter à quitter les logements qu’ils occupent depuis plusieurs années, notamment ceux situés dans les camps Michel Bingoundou, également connu sous le nom de camp de la FOPI, celui du bord de mer, ainsi celui de derrière la pédiatrie dans la commune d’Owendo, encore appelé camp du 9 juin. Une situation qui vient bouleverser la nouvelle année de plusieurs agents, qui sont désormais dans l’obligation d’envisager un déménagement.

Les raisons évoquées pour de ce déménagement imminent sont liées à un réaménagement des bâtiments qui subissent actuellement une cure de jouvence depuis plusieurs mois. Cependant, cette décision ne semble pas convenir aux agents concernés, dont la grande majorité ont des enfants scolarisés. La perspective d’un déménagement en plein cursus scolaire soulève de nombreuses interrogations au sein de ces familles, sans oublier l’épineuse question de trouver un logement dans des délais restreints, sachant bien que certains évoquent comme date butoir le 31 janvier 2025.

Aussi, il est important de noter que les travaux avaient débuté alors même que les agents étaient toujours présents sur les lieux. De nombreux témoignages indiquent que ces activités n’avaient cependant pas impacté le quotidien des ouvriers chargés de réaliser ces travaux. Cela soulève la question de l’opportunité et du timing de cette décision.

Ainsi, face à cette situation délicate, certains agents souhaitent une réhabilitation progressive des bâtiments. Car, cette méthode permettra aux familles concernées d’occuper les blocs réaménagés au fur et à mesure qu’ils seront remis en état, pour ne pas entrainer un déplacement précipité et perturbant pour les enfants.

Pr ailleurs, la situation actuelle engendre une incompréhension croissante parmi ces pères et mères de famille qui ont été surpris par cette décision soudaine, car n’ayant pas encore fait l’objet d’une communication officielle. Ils attendent désormais des clarifications sur leur condition d’habitation future et sur la manière dont leurs besoins familiaux seront pris en compte dans ce processus.

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