25 juillet 2024

Gabon : le calendrier universitaire 2024-2025 désormais connu

Celui-ci s’étendra de septembre 2024 à juillet 2025, a informé le Pr Hervé Ndoume Essingone.

Le ministre en charge de l’Enseignement supérieur, Pr Hervé Ndoume Essingone, a entretenu la presse sur la rentrée universitaire 2024-2025, mais aussi l’offre de formation et la capacité d’accueil au sein des établissements publics placés sous la tutelle de son département. Le membre du gouvernement a ainsi garanti, pour la prochaine année académique, un déroulement serein des activités universitaires dans les établissements d’enseignement supérieur du Gabon.

Non sans souligner que «les activités universitaires vont débuter en septembre 2024 pour se terminer en juillet 2025». Une décision prise en concertation avec les responsables des différents établissement d’enseignement supérieur, avec pour objectif de consolider le calendrier académique. «Les activités académiques, scientifiques et pédagogiques durant l’année, tout en respectant le système LMD, seront divisées en deux grands semestres totalisant 300 heures de cours chacun et deux sous périodes», a indiqué le Pr Hervé Ndoume Essingone.

Aussi, a-t-il précisé que les activités des deux semestres vont s’articuler autour des enseignements, des formations, des apprentissages, des travaux dirigés, des travaux pratiques, des évaluations continues, des examens finaux et des soutenances des travaux. Et que la première partie de l’année s’étendra de septembre à décembre 2024, c’est-à-dire quatre mois à l’intérieur desquels chaque établissement va pouvoir dérouler les différents programmes (licence, master, doctorat…).

Quant au second semestre, il s’étalera sur quatre mois également, entre janvier et avril 2025. Le calendrier académique prévoit, en outre, deux petites périodes consacrées au rattrapage pour ceux qui n’auront pas validé les unités d’enseignement, et pour éviter les semestres à rallonge que nous vivons actuellement. Ce sera entre les mois de mai et juillet de l’année prochaine.

Read Previous

Session criminelle ordinaire : que d’affaires de meurtres et de viols sur mineures

Read Next

Surpopulation carcérale : un dilemme pour la justice gabonaise

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *