La Rédaction 
Le dimanche dernier, le directeur de l’Agence nationale de l’urbanisme, des travaux topographiques et du cadastre (ANUTTC) a visité les zones de Libreville où des bâtiments ont été construits illégalement sur des terrains appartenant à l’État.
L’objectif de cette visite était de sensibiliser les occupants à quitter les lieux dans les plus brefs délais et de marquer les constructions non autorisées, notamment à Joachim Mahotes Magou Indi, dans le 1er arrondissement de la capitale. Le ministère des Travaux publics prévoit ainsi de lancer prochainement un projet d’envergure sur ce site de plusieurs hectares, avec des retombées sociales importantes.
<< Nous allons marquer et recenser les biens concernés par ce vaste projet. Il s’agit de construire des routes et de libérer des réserves foncières pour la construction de bâtiments administratifs. Comme vous le savez, l’État manque cruellement de bâtiments administratifs, alors que ces réserves foncières sont occupées illégalement >>, a déclaré Gildas Mickoto, directeur général de l’ANUTTC.
