Rudain-Frayse OKANA 
Le mariage, considéré comme l’union légitime de deux personnes dans les conditions prévues par la loi, est une institution qui a traversé les âges et qui continue d’évoluer. Dans le contexte actuel, il fait l’objet de nombreuses interrogations, notamment en ce qui concerne le divorce, lorsque celui-ci n’a pas marché. En effet, selon le profil des individus impliqués, le mariage peut engendrer des fortunes diverses.
Afin de faire face à certains défis, certains couples envisagent le divorce comme une solution pour repartir sur de nouvelles bases. Seulement, cette décision n’est pas à prendre à la légère ; elle implique souvent des conséquences émotionnelles profondes ainsi que des implications juridiques complexes. Pour ceux qui choisissent cette voie, le divorce peut être perçu comme une occasion de renouveau personnel et d’épanouissement.
Cependant, dans certaines cultures, communautés ou religion, le divorce est encore considéré comme un symbole de honte. Les normes sociales peuvent stigmatiser ceux qui choisissent de mettre fin à leur mariage, créant ainsi un environnement où la décision est mal vue. Cette perception négative peut dissuader certains individus de prendre la décision qui serait pourtant bénéfique pour leur bien-être.
Ainsi, la question se pose : le divorce est-il une occasion de nouveau départ ou un motif de honte ? La réponse dépend largement du contexte culturel et du profil des individus concernés. Pour certains, il représente une chance d’évoluer vers une vie plus épanouissante ; pour d’autres, c’est un fardeau social difficile à porter.
En définitive, le mariage, bien qu’étant le symbole d’un engagement entre deux individus qui s’aiment, peut cependant aboutir à une séparation, selon les réalités vécues au sein du ménage par l’un des conjoints. Au-delà des réalités socioculturelles, les expériences individuelles peuvent prendre le pas, privilégiant un meilleur départ.
