C’est en tout cas ce que soutient Me Gisèle Eyue Bekale, conseil d’Hervé Patrick Opiangah, vient de publier une nouvelle réaction à la récente vidéo du journaliste français.
La colère ne retombe pas dans le camp d’Hervé Patrick Opiangah. Sauf à s’y méprendre, elle devrait le demeurer, tant qu’il continuera avec ses pratiques mafieuses.
« Dans une vidéo datée du 13 août 2023, le sulfureux et indélicat journaleux français est passé de la diffamation aux menaces», selon Me Gisèle Eyue Bekale, avocate au barreau du Gabon et conseil de sieur Opiangah.
« Au nom de mon client, je voudrais dire à ce personnage peu reluisant, mis en cause dans des affaires judiciaires de diffamation, condamné le 6 juin 2023 par le Tribunal correctionnel de Paris, soupçonné et entendu par la brigade de répression du banditisme de la Police judiciaire de Versailles, dans une procédure visant une bande organisée, qu’il est disqualifié et incrédible», ajoute-t-elle.
La réaction de cette professionnelle du droit, bien connue des prétoires au Gabon et à l’étranger, fait donc suite à la nouvelle publication du journaliste français. Mais pour l’ancienne membre du Conseil de l’Ordre, « lorsqu’on prétend être journaliste et qu’on n’a pas d’informations sérieuses à communiquer au public, on fait des poubelles et, au besoin, on les remplit soi-même. Quand ils en arrivent là, c’est qu’ils ont perdu la tête, les mots pour eux n’ont plus de sens, il ne leur reste plus que l’injure ».
Aussi, s’indigne-t-elle de ce Romain Molina qui se trompe de cieux. « Drapé d’une parcelle de pouvoir médiatique, il joue dans les cieux de si grotesques personnages qu’il ferait pleurer les anges. Le gouvernement des « journaleux » n’a pas de place au Gabon», raille l’avocate.
Non sans ajouter sur « Romain Molina sera déniché dans son petit village en Espagne pour répondre de ses forfaits devant le tribunal correctionnel de Paris. En attendant, s’il peut user du même courage diffamatoire pour communiquer son adresse, il évitera au juge d’instruction de procéder par commission rogatoire».