
Cette assertion est du candidat à la Présidentielle du 12 avril 2025, Dr Stéphane Germain Iloko Boussengui, qui a récemment tenu son premier point de presse devant les hommes et femmes des médias nationaux et internationaux, après la validation de sa candidature à la présidentielle par la Commission Nationale d’Organisation et de Coordination des Élections et du Référendum (CNOCER). Au cours de la rencontre devant la presse, le candidat a décliné son projet de société pour l’avenir du Gabon, mais surtout les raisons qui ont motivé sa candidature à ce grand rendez-vous politique.
Durant son exercice devant les professionnels des médias, Dr Stéphane Germain Iloko Boussengui a justifié sa candidature à l’élection présidentielle du 12 avril prochain, en basant son argumentaire sur trois principaux points. Pour le premier, celui-ci porte sur la situation politique et socio-économique du pays, jugé « exécrable », dit-il, depuis plusieurs décennies maintenant. Un contexte qui a fortement influencé sa décision de postuler dans cette course vers le fauteuil présidentiel.
Outre ces aspects, Dr Iloko Boussengui a également dénoncé ce qu’il considère comme «la confiscation du pouvoir par un système mafieux», sans omettre d’évoquer un troisième point « la fracture sociale, du fait des inégalités ».
L’échange devant la presse n’a pas seulement servi de cadre à la dénonciation, mais cela a également permis à l’homme politique de décliner les mesures correctives qu’il souhaite aborder en cas d’élection remportée au soir du 12 avril 2025. De fait, il entend axer sa politique sur le développement économique, social, et en termes de capital humain ; en plus de la mise en œuvre d’un véritable modèle de politique de gouvernance en matière de gestion durable des ressources naturelles, en conformité avec les Objectifs de développement durable (ODD) et enfin il entend garantir la prospérité au peuple gabonais.
En somme, la rencontre organisée par Dr Stéphane Germain Iloko Boussengui, devant la presse, a été l’occasion pour lui de partager ses ambitions en faveur du Gabon, tout en mettant un accent particulier sur la nécessité pour le Gabon de s’appuyer sur un modèle sociétal et politique qui soit conforme aux réalités du pays.