
Une controverse est récemment née autour du montant nécessaire alloué au raccordement des installations de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) d’avec les centrales flottantes Karpowership. Selon des informations annoncées par un média de la place, cette opération nécessiterait un déboursement mensuel de 15 milliards de francs CFA par mois. Face à ces allégations, la SEEG a rapidement réagi en les démentant et en apportant des précisions sur le véritable coût de l’accord.
Dans un communiqué officiel, la SEEG a affirmé que le montant réellement convenu elle et l’entreprise turque Karpowership est de 1,8 milliard de francs CFA par mois, soit huit fois moins que la somme annoncée par deux médias gabonais dont un en ligne. L’entreprise dénonce une mauvaise interprétation des chiffres et insiste sur la nécessité de diffuser des informations exactes pour éviter toute confusion parmi les consommateurs.
Par ailleurs, la SEEG a clarifié un autre point soulevé dans cette affaire, à savoir qu’ aucune clause contractuelle ne mentionne la levée de certaines restrictions entre l’État gabonais et la société Karpowership. L’entreprise rappelle son engagement à fournir un service fiable et transparent, tout en respectant les accords établis avec ses partenaires.