RDC/Peine de mort : Constant Mutamba soutenu par l’artiste français Maître Gims

Depuis quelques semaines, la République Démocratique du Congo (RDC), est en proie à une vaste opération de lutte contre le grand banditisme, initiée par son ministre de la justice, Constant Mutamba. Le garde des sceaux a décidé d’employer les grands moyens pour venir à bout des exactions dans la capitale Kinshasa et les autres régions du pays. Ainsi, il s’est résolu à faire appliquer la peine de mort à l’encontre des « Kulunas », nom donné à ces jeunes délinquants rassemblés au sein de plusieurs Gangs appelés « écuries ».

Dans sa lutte, Constant Mutamba ne manque pas d’être critiqué par certains de ses détracteurs qui considèrent la mesure excessive et brandissent l’argumentaire des droits de l’homme. Dans le même temps, d’autres, par contre, estiment que la décision du ministre de la Justice est salutaire. Car, il vient sonner l’heure de la fin de l’impunité, tout en ramenant la quiétude chez les populations, principales victimes des ‘’Kulunas’’.

Parmi les soutiens de Constant Mutamba, on note des hommes politiques ou encore des artistes. Pour le cas des derniers cités, un artiste de renommée mondiale a récemment manifesté son soutien envers cette décision. Il s’agit du Franco-congolais, ‘’Maître Gims’’ de son nom d’artiste. En effet, il a produit une œuvre musicale à travers laquelle il adresse un message au ministre Constant Mutamba, et à la population congolaise dans son ensemble. Certaines paroles, évocatrices, témoignent de l’espoir suscité par Constant Mutamba.

« Pendant que le Congo était dans l’ombre, toi tu l’élèves et rallumes la flemme. Ministre combattant, tu brises les murs pour un avenir sûr. Les jeunes dans la rue crient ton nom, Constant Mutamba tu représentes la nation. Gardien des droits, le Congo avance grâce à toi », peut-on écouter de la mélodie concoctée par l’artiste international Gims.

Rappelons que Constant Mutamba a également mis en garde les ministres véreux qui détournent les deniers publics, qu’ils pourraient également être exécutés si des cas avérés de détournement de biens de l’État sont confirmés à leur encontre.

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