
Après le geste unanimement qualifié de patriote, consistant pour le président de la Transition à renoncer à son salaire de président de la République, en plus de réduire les émoluments des députés et des sénateurs, le chef de l’État est appelé à poursuivre dans cette dynamique.
Comment ? En rationalisant, dans le même élan, le traitement les entités telles que le gouvernement, ou des institutions comme la Cour constitutionnelle, que d’aucuns disent budgétivore. L’exemple étant venu d’en haut, il sera plus facile pour tout le reste de suivre, croit-on dans l’opinion.
D’autres observateurs appellent même à la publication des salaires dans le cadre des fonctions de la haute administration. Histoire de rationaliser plus que jamais la gestion publique, et d’être transparent jusqu’au bout.